Une mort douce est préférable, lorsque la victime ne sentira alors que ma douleur. Supplice et prières seront ces seuls complices à travers la froideur de mes lames aiguisées qui parcouraient son corps d’une lenteur calculée.
Ô exquise sensation, que m’inspiraient ses cris, ses lamentations, ce plaisir va au-delà de la raison.
Mais que vois-je ? Ces yeux si expressifs de douleur, à présent vide de rancœur
. . . serait-il déjà l’heure ?
Une tempête, d’une forte intensité, déchaîne sa force destructrice sur la surface du globe. Mais loin de se sentir concerné, dans les bas fonds du monde, là où même la vie n’ose s’aventurer, Un monde par delà les limites se développe. Situé au centre de cette plaine abyssal, entouré d’une forêt ténébreuse, se dresse un monument somptueux. A l’intérieur dans les sous-sols de cette bâtisse, se distinguent deux formes distinctes, l’une pâle comme la lune et l’autre sombre comme une nuit . . . qui cela peut-il bien être ?
A l’oreille de ce qui semblait être une forme humaine, un ombre se pencha doucement. Sous la clarté lunaire qui traverse les barreaux et transperce les ténèbres, brille une lame tenue par l’ombre. Un crime se prépare en secret.
Voix murmurant : Veux-tu mourir ?
Voix1 faible : o. . . oui
L’ombre déposa alors son couteau, d’un sourire infâme prit un seau remplis d’une liqueur plus limpide et souple que l’air. D’un geste déterminé elle déversa d’une traite le précieux liquide.
La seconde silhouette reprit ces esprits « de l’eau ? », Elle ne l’avait pas achevé... « pourquoi ? ! ? » Fut la première question que traversa le rideau de sang qui emplissait sa tête et recouvrait son corps.
« Pourquoi ? » Voilà ce qui résonnait en lui tel un écho que rien n’arrêt, se répétant à l’infinie, jusqu’à ce que la folie s'empare de lui. Après des semaines, où seule la divine douleur de diverses lames animaient son quotidien. Où ses cris, tantôt emplis de haine, de douleur et de désespoir arrivaient à ses oreilles mais qui donnait un sourire de délectation à l’ombre, qui ne semblait entendre sa peine. Ce même sourire qui à l’instant l’avait sortie du tourbillon d’inconscience dans lequel il avait trouvé refuge, de ces caresses sanglantes. Il ouvrit légèrement les yeux et regarda autour de lui. Un outillage d’objets de tortures extravagants se révélait devant ses yeux, loin de s’étonner, il avait ces appareils face à lui depuis des semaines. A peine eut-il constaté cela, qu’un bruit d’étoffe attira son attention. En dépit de sa position peu avantageuse il redressa la tête et aperçut l’ombre disparaître dans un mouvement de cape noire.
Voix1 criant difficilement : Attends ! ! Vous me devez une.. tousse . .EURK ! crache du sang
L’ombre qui était déjà partis, revint doucement sur ses pas. Arrivé devant la porte elle regarda quelque instant l’homme qui se tenait face à elle, les cheveux noirs, les yeux d’un vert émeraude magnifique et malgré les nombreuses entailles d’où s’écoulait un sang encore frais, on pouvait remarquer une musculature parfaite, à vue d’œil il semblait avoir la vingtaine. Les bras pendus par des chaînes, les genoux à même le sol il ne portait en tout et pour tout qu’un short en aussi mauvais que son propriétaire. Elle s’avança rapidement près de lui et tout en lui relevant et e tenant son menton, elle lui dit :
Voix souriant, susurrant: calme toi voyons, tu vas perdre tout ton sang sinon..
Se redressant, elle lui tourna le dos pour repartir, arriver à la porte posant une main sur le chambranle et jeta un dernier regard avant de disparaître définitivement.
Le regard vitreux, le corps endoloris, le jeune homme au prix d’un dernier regardait l’ombre s’en allée, puis s’évanouie.
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y aura t'il une suite car "il" n'est pas encore mort n'es ce pas ?
Ô désespoir me voici désormais plongé dans la terrible douleur qu'entraine le suspense !!!! rhaaaaaaaaaaaaa